L’échantillonnage a été effectué au cours des mois d’avril et mai par des chercheurs de l’Université de Saragosse Groupe de recherche sur l’eau et la santé (Institut de recherche en sciences de l’environnement d’Aragon, IUCA). Le travail a été réalisé par le prof. María P. Ormad.
Points de prélèvement sur le territoire espagnol ont été en Navarre Aragon, Irantzu, Arakil, Queiles, Arga, Ega, Bidasoa (photo principale), Èbre et Irantzu et les zones d’entrée et de sortie quelques stations d’épuration à Estella, Pamplona, Tudela et Bera. Aragon a été échantillonné dans les rivières: Queiles, Alcanadre, Aragon Subordán, Cinca, Clameur Amarga, Flumen, Riguel Arba et dans la Galice. Catalogne: Segre et Noguera Ribagorzana et enfin, le passage de la rivière Alhama par Alfaro (La Rioja)
Sur le territoire français, a été échantillonné à L’Adour, Le Gabas, La Garonne, Save, L’Echez et la Baïse, dans les Pyrénées Atlantiques, Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées.
(photo, échantillonnage sur la rivière La Baïse, France)
La détection, la caractérisation et la quantification des antibiotiques dans les échantillons auront lieu dans l’IPREM-CNRS (Institut des Sciences et Analytiques de physico-chimie et l’environnement les répandrai Matériaux) Pau (France), par le groupe Dr. Joanna Szpunar, en utilisant des techniques d’analyse de dernière génération extraordinaire sensibilité (parties par trillion) en utilisant l’instrumentation analytique Spectrométrie de masse haute résolution.
Par la suite, tous les facteurs nécessaires à l’utilisation des nanomatériaux dans les aliments pour animaux, dans le but de réduire les niveaux d’antibiotiques qui atteignent l’eau par l’utilisation dans les fermes d’élevage seront étudiées.